Vous lisez Procrastination : S02E20 – Talent VS Travail

Les liens vers l’épisode S02E20 : Script : Télécharger / Audio : Elbakin

Liste des Episodes transcrits

« Le talent, le travail ou les deux ? Cette question a tendance à remuer les milieux artistiques, les discussions entre créateurs et Internet ; mais nos podcasteurs n’ont peur de rien et se lancent dans cette discussion en seulement quinze minutes. Mélanie, justement, se positionne entre les deux, et donne une intéressante définition du talent : ce serait ce qui ne s’apprend pas. Laurent non plus ne minimise certes pas l’importance du travail ; pour lui, la nature du talent est directement connectée à la nature même de l’art, et surtout ce qu’il génère chez son public. Lionel dit clairement que la notion de talent l’ennuie car elle est trop évanescente ; puisque la seule chose que l’on peut contrôler est le travail, alors travaillons. » (Blog de Lionel Davoust)

Et dans la suite de l’article la transcription de l’épisode (à noter que le texte à télécharger a une mise en page plus claire, avec notamment un code couleurs). N’hésitez pas à intervenir dans les commentaires pour évoquer votre expérience !

S02E20 : Talent VS Travail

(Transcription : Symphonie ; Relecture et corrections : Plokie)

Vous écoutez Procrastination, Saison 2 Épisode 20 : Talent VS Travail

Podcast sur l’écriture en 15 minutes.

Parce que vous avez autre chose à faire.

Et qu’on n’a pas la science infuse.

Avec les voix de : Mélanie Fazi, Laurent Genefort, et Lionel Davoust.

Lionel Davoust : Alors, histoire de bien vous laisser sur l’été avec un sujet qui fera peut-être couler de l’encre – ou pas – on va peut-être se faire des amis – ou pas –, un sujet qui agite régulièrement les milieux créatifs. Certains disent que le talent fait tout, d’autres que le travail fait tout, parfois qu’on est entre les deux, donc on va simplement essayer de défricher cette notion. Qu’est-ce que le talent ? Qu’est-ce que le travail ? Le poids de l’un, de l’autre, de l’investissement, etc. ?

(rires)

LD : On ne va probablement pas résoudre ça en un quart d’heure, parce que sinon après on va attaquer sur la paix dans le monde et résoudre les problèmes du monde entier, mais au moins donner quelques opinions et notre avis sur ces positions-là, et ensuite probablement laisser internet nous brûler pendant tout l’été.

(rires)

LD : Qu’est-ce que le talent ?

(rires)

Mélanie Fazi (en riant) : C’est la partie qui ne s’apprend pas.

LD : Vous avez vu comment je me mouille pas.

MF : Moi, spontanément, ce qui me vient c’est que c’est la partie qui ne s’apprend pas. En fait, je serais pour l’option « entre les deux », c’est-à-dire que les deux existent et on est toujours quelque part entre les deux. J’ai du mal avec cette idée qui se démocratise un peu, peut-être avec internet avec les méthodes d’écriture, etc., et qui rejoint la question de l’inspiration qu’on avait déjà abordée – est-ce qu’elle existe ou pas ? et beaucoup de gens disent que non, il suffit de travailler et de s’y mettre, moi je suis plus nuancée. J’ai tendance à penser qu’on peut apprendre énormément de choses, on peut apprendre la technique. Je pense qu’à peu près n’importe qui, s’il prend des méthodes d’écriture, s’y plonge suffisamment, peut apprendre à écrire un texte de A à Z, je ne suis pas persuadée que tout le monde, à partir de là, puisse produire un texte qui va être original, intéressant, apporter quelque chose de nouveau.

Et ce que j’appellerais moi le talent, c’est la partie qui émerge et qui ne s’apprend pas. Et je pense qu’il y a un mélange des deux, qu’il y a un certain nombre de choses qui peuvent s’apprendre et sur lesquelles on progresse, et qu’il y a des choses qui sont plus de l’ordre de la personnalité, du regard sur le monde… J’allais dire du choix des thèmes. Ce n’est pas tellement un choix, les thèmes qui sont nos obsessions, toutes ces choses-là, je pense, ne peuvent pas s’apprendre à l’identique d’une personne à l’autre, et ce que j’appellerais talent pour moi c’est de cet ordre-là.

Laurent Genefort : Hum, très difficile, c’est peut-être ce qui nous a motivés à faire ce podcast, donc on est au cœur de la chose, quoi, je trouve. Déjà, si le travail ne compensait pas le talent, est-ce que vous croyez que je serais là en ce moment, déjà ?

(rires)

LD : Je pourrais dire la même chose !

LG : Mais en tout cas, je trouve que l’épisode interroge le statut de l’art en fait. Tout ce qu’on aime bien dans un roman, est-ce que ça relève de l’art ou d’autre chose ? Je ne sais pas…

MF : C’est un équilibre entre les deux.

LG : Voilà. Est-ce que le talent se niche dans la seule maîtrise des mots ? Moi je me pose toujours la question, et je n’ai pas de réponse. J’ai tendance à penser comme toi, c’est-à-dire c’est ce qui reste un peu quand on met de côté justement la technique… mais c’est de la technique en même temps.

MF : Pour moi, il y a vraiment un équilibre. C’est-à-dire, je ne pense pas qu’avec juste le travail on puisse… Comme je le disais, on peut produire un texte, il ne sera pas nécessairement intéressant. Par contre, quelqu’un qui a des idées originales, qui a une personnalité, etc., s’il n’apprend pas un minimum à canaliser tout ça, ça va être un bordel sans nom et ça ressemblera à rien. Je pense qu’il faut nécessairement la rencontre des deux.

LG : Moi je dirais que c’est une tension, en fait. C’est comment conserver l’étincelle du vivant dans la machine qu’est l’élaboration de l’histoire ? Je pense que talent vs travail, c’est ça. C’est comment conserver cette espèce de truc un peu intangible, justement qu’on ne peut pas quantifier, dans tout ce qui est quantifiable. Au moins on sait identifier tout ce qui est figures de style, et pourtant il y a quelque chose qui échappe à ça, qui est dans l’équilibre de tout ça. Le talent, par rapport à quelqu’un qui n’en a pas, c’est quelqu’un qui a trouvé cette espèce d’équilibre subtil entre tous ce qu’il a mis en œuvre.

MF : Est-ce que ça rejoindrait quelque part la question du style et de la voix personnelle, aussi ?

LG : Oui. Oui. Oui.

MF : Pour moi, c’est vraiment la notion de ce qu’on mettrait dans le talent. Quand on entend « talent » en plus il y a quelque chose de qualitatif qui me dérange, en fait.

LD : Moi aussi.

MF : Ça sous-entendrait que quelqu’un est nécessairement bon, quelqu’un est nécessairement mauvais.

LD : C’est exactement ce qui m’ennuie dans cette idée.

MF : Donc je ne sais pas comment l’appeler. Peut-être style ou voix, effectivement. Et par contre, derrière cette idée… Je bloquais sur ça en me disant « je n’aime pas cette hiérarchie », moi j’ai cette intuition en fait qu’on n’est pas tous égaux devant l’écriture, mais parce qu’on n’est pas égaux devant les différents moyens d’expression, et certains vont naturellement avoir une facilité pour l’écriture, chez d’autres ça va être le dessin, ça peut être beaucoup de choses différentes. On peut essayer, mais on n’apprendra pas nécessairement à ce que ce soit aussi vivant.

LD : J’aime beaucoup ce que tu dis Laurent sur le fait de laisser la vie apparaître, parce que je trouve que c’est le parcours de tout créateur. Il y a l’envie, ensuite il y a l’apprentissage de la technique, l’apprentissage des outils de manière générale, qu’on le fasse de façon rigoureuse ou en le découvrant par essais et erreurs, et ensuite, ce travail-là finalement au bout d’un moment (on en a parlé dans l’épisode sur la concision) on fait presque le chemin inverse. C’est-à-dire qu’il vient un moment où les outils doivent s’effacer pour que la vie, murie par l’apprentissage, puisse briller à nouveau à travers ce qu’on fait. Le chemin de la création c’est un peu ça.

LG : Moi j’ai l’impression que ce qui distingue un grand auteur d’un petit auteur… Je pense qu’il y a des grands auteurs et des petits auteurs, je veux dire, je ne suis pas égalitaire du tout, je pense qu’il y a des bons et il y a des pas bons. En revanche, là où je ne suis pas du tout élitiste, c’est que je pense que la capacité des grands est d’être bon tout le temps, et je pense qu’on a pour le coup tous la capacité d’être bon à un moment.

Moi par exemple, je sais que sur les 50 romans que j’ai écrits, j’en mettrais peut-être 3 que je trouve bons. Un grand auteur, quasiment toute sa bibliographie va être faite de bons livres, en fait.

MF : Moi je ne suis pas forcément d’accord avec ça. J’ai plutôt l’intuition qu’on ne peut pas être bons constamment, à la limite on peut s’autocensurer sur des choses qu’on trouve mauvaises, je suis persuadée que quelqu’un qui écrit…

LG : C’est ce que je dis en fait (rires).

MF : mais que… enfin je ne sais pas, je pense que personne n’est bon constamment. Mais du coup, comment je peux dire ça ? J’ai un exemple qui me vient, qui n’a peut-être rien à voir avec le sujet, mais je pensais quelqu’un comme Harper Lee qui n’a écrit qu’un seul roman. Bon, un deuxième, mais on suppose que c’est un fond de tiroir qu’on l’a obligée à sortir, donc on ne va pas en tenir compte. Et elle est reconnue comme une écrivaine vraiment majeure dans l’histoire de la littérature pour « un » livre[1]. Donc moi ça m’interpelle beaucoup cette idée.

LG : Moi aussi.

MF : Est-ce qu’être bon sur le long terme…

LG : Moi, je ne pense pas non plus qu’on puisse dire « celui-là il est bon, celui-là il est pas bon ». Je pense qu’on est bon à certains moments et on peut ne pas être bon à d’autres moments. Rien n’est rédhibitoire là-dedans, parce que je pense qu’il y a aussi des moments où on rencontre son roman et des moments où on ne le rencontre pas, d’une certaine manière. Juste en fait, il y a des moments où le talent s’exprime à son top, et des moments où il s’exprime moins, où c’est juste le métier qui parle. Et c’est là aussi ce qui détermine un auteur professionnel de quelqu’un qui ne l’est pas, quelqu’un qui est professionnel va écrire même s’il n’est pas en forme, même s’il ne rencontre pas justement cette espèce d’étincelle, cette espèce de petit feu qui doit être au centre de la création, des fois il est étouffé par le quotidien.

MF : J’ai souvent du mal avec les réactions de certains lecteurs qui suivent des auteurs très prolifiques, et qui de temps en temps, si un roman est en dessous, ou deux à la suite qui sont en dessous, tout de suite on va dire « ah bah c’était mieux avant, il a perdu son talent, etc. » et ça m’horripile précisément pour ces raisons. On a tous des hauts et des bas, personne ne peut être constant, on peut très bien avoir un problème dans sa vie qui fait qu’on n’est pas au top à ce moment-là, j’ai beaucoup de mal avec ça en fait. 

LD : Et parfois, ne pas rencontrer le roman pendant 1-2 bouquins, mais avoir quand même « fait le taff », c’est-à-dire que ça tient la route, il y a une histoire, c’est bien construit, etc., c’est peut-être les étapes d’une maturation plus vaste…

MF : Oui, aussi.

LD :… qui vont permettre au 3e bouquin après de retrouver ce niveau-là.

MF : J’allais juste ajouter, il y a ça aussi dans cette idée de talent et de travail, il y a aussi la notion qu’on progresse énormément. Pour moi un bon auteur c’est aussi quelqu’un qui apprend à avancer et qui ne fait pas strictement le même livre tout le temps.

LD : Et qui avance tout le temps, ouais.

MF : C’est quelque chose qui m’intrigue toujours un peu, mais j’entends des écrivains dire parfois « j’ai attendu des années d’avoir l’expérience ou la maturité nécessaire » pour écrire un projet qu’ils portent depuis longtemps.

LD et LG : Oui.

MF : C’est quelque chose… Enfin, moi, je ne fonctionne pas du tout comme ça, mais j’entends ça très souvent.

LG : Moi c’est mon cas. Par exemple, sur le thème de l’extra-terrestre, j’ai attendu volontairement quinze ans parce que je ne me sentais pas du tout les épaules de traiter du thème de l’extra-terrestre, qui pour moi est vraiment une vraie gageure, c’est quelque chose d’extrêmement difficile, la chose la plus difficile qui soit, l’altérité la plus absolue vécue dans la chair d’un extra-terrestre justement. J’ai attendu une quinzaine d’années pour pouvoir m’attaquer de front au sujet. Donc ouais, tout à fait.

LD : Moi aussi, une série comme Les Dieux Sauvages avec énormément de points de vue, énormément de lieux, je ne me sentais pas la capacité à maintenir la tension, à jongler avec toutes les assiettes sans en casser aucune si je n’avais pas fait des projets comme Léviathan où il n’y a que deux, puis trois points de vue au fur et à mesure de la série, de manière à acquérir suffisamment de hauteur sur mon boulot et de recul esthétique pour savoir le faire convenablement et après le retravailler convenablement, pour avoir suffisamment de recul pour savoir ce que je voulais en faire, quelque part.

De toute façon, moi aussi je suis assez ennuyé par l’idée de talent, parce que ça suppose l’idée de « don », or viscéralement, fondamentalement, je crois énormément à la plasticité de l’être humain et à sa capacité à apprendre les choses. Ce qu’on appelle talent, faute de meilleur terme, c’est peut-être une forme de « prédisposition mentale » à travailler quelque chose, et en fait s’établit un feed-back positif. C’est-à-dire que si on a cette prédisposition, on est intéressé et on a peut-être une base de sensibilité, on commence à travailler les choses, et du coup on obtient un retour positif très vite qui stimule la persévérance et crée une boucle vertueuse. Mais est-ce qu’on l’a, est-ce qu’on l’a pas ? Pour moi ça me paraît impossible à dire. Le talent, pour moi, c’est quelque part une prédisposition à une forme d’intérêt. Et qu’est-ce qui se contrôle ? Si j’ai envie d’écrire, qu’est-ce que je peux contrôler ? Travailler, c’est tout.

Il y a ces discussions parfois sur internet, quand des fois je prends quelques volées de bois vert sur les articles sur le blog, parce que certains trouvent que j’ai l’outrecuidance de ramener le métier à la technique… ce qui n’est pas le cas du tout ! Mais la technique et le travail, c’est jamais que la seule chose qui peut se contrôler. Donc à partir du moment où on a envie d’en faire, qu’est-ce qu’on peut faire à part : le faire ? Le travailler avec un maximum de cœur et d’envie, et laisser la postérité décider. On ne le fait pas pour la postérité et on ne le fait pas pour l’édition, on le fait parce qu’on en a envie et parce qu’on veut le travailler. En dehors de ça, qu’est-ce qu’on contrôle à part ce qu’on fait ? Rien du tout. Et qu’est-ce qu’on peut transmettre nous aussi quelque part, à part l’expérience, les techniques que nous on a pu aborder et qui ont pu nous permettre de progresser, donner ça en pâture aux gens qui peuvent éventuellement s’en emparer, les améliorer, et eux aussi prolonger le chemin au-delà de nous. On peut faire que ça. Moi, la discussion sur le talent, très franchement, elle m’a toujours emmerdé. Brassens disait – ce n’est pas la citation de fin de l’épisode – « le talent n’est qu’une sale manie. » Et voilà, le travail il n’y a que ça.

LG : Exactement.

LD : Bon, il y a le fameux mythe comme quoi pour maîtriser un sujet il faut 10 000 heures de pratique, bon, on y croit ou pas, je ne sais pas. Un discours sur le développement personnel dit aujourd’hui « trouvez votre motivation, trouvez votre vocation, etc. ». En tout cas il y a un truc qui est clair, c’est qu’il y a beaucoup d’études neurologiques qui montrent que finalement le travail et la persévérance qui amènent des résultats positifs au fur et à mesure – parce que plus on travaille, plus on s’améliore – et ce sont ces résultats qui finalement génèrent la passion.

Pareil, je suis entre les deux, avec le truc en plus de dire que comme on ne peut contrôler que le travail, ben bossons. Voilà.

LG : Mais cela dit, idéologiquement – vous connaissez mon point de vue là-dessus – le fait est que vous allez avoir des dizaines d’auteurs qui vont travailler dans la collection Anticipation[2] dans les années ’50 aux années ’90, mais vous allez avoir qu’un Stefan Wul[3] par décennie, c’est tout. C’est terrible à dire (rires), mais il y a des gens qui ont tellement de talent, qui n’ont pas plus travaillé que les autres, mais qui ont ce petit quelque chose quand même. Mais, cela dit, il ne faut pas tomber dans cette espèce de romantisme de l’écrivain…

LD : Et au-delà de ça – ça pourrait nous amener vers beaucoup d’autres choses – ça pourrait nous amener vers la question de « pourquoi on écrit ? ». Est-ce qu’on écrit pour être Stefan Wul ? Je pense qu’on devrait écrire pour être soi et laisser les choses décider, quelque part. Faire les choses avec cœur, du mieux possible avec le travail, je pense qu’il est toujours dangereux de se croire génial parce qu’effectivement, il n’y a peut-être qu’un Stefan Wul par décennie…

LG : Voilà, exactement.

LD : Et il y a aussi tellement de choses – non pas pour minimiser le talent de Stefan Wul –, il y a aussi la rencontre avec une époque, la rencontre avec un lectorat… Toutes ces choses-là sont tellement incontrôlables… Bossons et faisons le meilleur travail possible.

MF : Il y a aussi cette idée d’être soi qui me parle dans le sens… Dans l’idée de la technique, il peut aussi y avoir l’idée que les choses doivent fonctionner comme ça, doivent fonctionner de telle manière…

LD : Exactement !

MF : Et il faudrait justement réussir à réintégrer quelque chose de sa propre manière d’utiliser cette technique. Et pour moi, c’est là aussi que se joue l’équilibre.

LD : On l’évoquait tout à l’heure, mais c’est aussi pour ça que la technique, c’est très important pour l’apprentissage des règles, des codes, etc., mais il y a un moment, il faut en faire sa tambouille et laisser paraître son esthétisme, sa vie, son projet. Oublier la technique, mais pour l’oublier il faut l’avoir apprise, quelque part.

MF : On est d’accord.

LD : On est arrivé à la fin de notre temps écoulé, à la fin de cette saison 2, donc la petite citation ?

MF : Citation de Boileau qui nous dit : « Sans la langue, en un mot, l’auteur le plus divin est toujours, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain ».

LD : À nouveau, on veut vous remercier pour votre fidélité au cours de cette nouvelle saison, remercier toujours Elbakin.net qui nous héberge et nous diffuse, merci à eux pour le travail en coulisse qu’ils donnent pour le podcast, sans qui ce podcast n’existerait probablement pas. Merci à vous de nous avoir suivis. On vous bassine pas avec ça, mais au cas où, si cette saison vous a plu, n’hésitez pas à laisser un petit commentaire ou une petite critique, ou quelques étoiles sur i-tunes ou votre agrégateur de podcasts préféré, ça permet à d’autres auteurs et d’autres personnes qui peuvent être intéressées de trouver le podcast.

On vous donne rendez-vous pour une saison 3 à partir de la rentrée prochaine, le 15 septembre. Et j’arrête de parler.

Et en attendant, arrêtez de procrastiner, écrivez !


[1] Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur, 1960

[2] Collection Fleuve Noir Anticipation spécialisée dans le Science-Fiction

[3] Écrivain français de Science-Fiction (1922-2003)

Une réflexion sur “Vous lisez Procrastination : S02E20 – Talent VS Travail

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